14 décembre Spectacle Micheline Marchildon a fait rire les gens de Prince Albert La Franco-Manitobaine Micheline Marchildon exprime cette fierté dans son spectacle d’humour French’er hors Québec. Entretien.
Un atelier de la CAFS lève le voile sur le racisme et la discrimination La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan a organisé une activité de sensibilisation sur les droits de la personne et la...
« Je veux montrer qu’être francophone ouvre des portes. » Entretien avec Chylisse Marchand, présidente de l’Association communautaire francophone de Bellegarde. Mère de deux filles, elle...
La Société historique prépare ses Valises temporelles La Société historique de la Saskatchewan (SHS) est en train d'élaborer son nouveau projet scolaire nommé Valises temporelles
Il est temps d’agir sur l’accaparement des terres agricoles L’accaparement des terres agricoles par des multinationales et autres fonds d’investissement pourrait devenir un enjeu de sécurité...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8541 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer