1 décembre Théâtre La Troupe du Jour sur la route de l’existence avec la pièce Jack La Troupe du Jour (LTDJ) a accueilli la pièce Jack de la dramaturge franco-ontarienne Marie-Pierre Proulx, qui a fait une...
Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer? La Cité universitaire francophone de Regina organisait une table ronde sur la communauté fransaskqueer, du nom d’un projet...
L’art du débat enseigné aux jeunes Plus de 200 personnes ont participé de façon virtuelle au Tournoi des débats des jeunes, incluant débatteurs, organisateurs, juges et...
Dans l’intimité de la culture francophone hors Québec La Société canadienne-française de Prince Albert a présenté le documentaire Intimités francophones d’eux dans le cadre de la...
L’or bleu expliqué en français aux enfants Le groupe SaskOutdoors qui œuvre pour les loisirs de plein air et la responsabilité environnementale en Saskatchewan tiendra un module...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30271 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer