22 novembre Économie La hausse du cout de l’essence inquiète les agriculteurs de l’Ouest Le cout de l’essence a augmenté de 32,8 % entre septembre 2020 et 2021. La situation affecte le secteur de la production agricole...
La fransaskoisie unie contre le harcèlement Pour Émilie Lebel, « le harcèlement est encore bien présent dans la communauté et nous souhaitons que les employés accordent davantage...
Une année pleine de défis et de projets pour le CCF Lors de son Assemblée générale annuelle du 5 novembre, le Conseil culturel fransaskois (CCF) a dressé son bilan de l’année écoulée.
Être fransaskois en 2021 : témoignages Le Rendez-vous fransaskois s’est terminé avec une session de discussion sur l'identité fransaskoise des femmes francophones de la...
Le cinéma francophone a du mal à tisser sa toile hors Québec Pour expliquer ces défis, plusieurs professionnels pointent du doigt la frilosité des distributeurs, qui évaluent le risque trop important pour se...
18 juin 2019 FAJEF 19934 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer