14 décembre Spectacle Micheline Marchildon a fait rire les gens de Prince Albert La Franco-Manitobaine Micheline Marchildon exprime cette fierté dans son spectacle d’humour French’er hors Québec. Entretien.
Un atelier de la CAFS lève le voile sur le racisme et la discrimination La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan a organisé une activité de sensibilisation sur les droits de la personne et la...
« Je veux montrer qu’être francophone ouvre des portes. » Entretien avec Chylisse Marchand, présidente de l’Association communautaire francophone de Bellegarde. Mère de deux filles, elle...
La Société historique prépare ses Valises temporelles La Société historique de la Saskatchewan (SHS) est en train d'élaborer son nouveau projet scolaire nommé Valises temporelles
Il est temps d’agir sur l’accaparement des terres agricoles L’accaparement des terres agricoles par des multinationales et autres fonds d’investissement pourrait devenir un enjeu de sécurité...
18 juin 2019 FAJEF 19924 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer