1 février En quelques mots Aux confins de l’univers Alors que la planète avait la tête dans les célébrations de Noël, un événement scientifique marquant est passé presque inaperçu. Il s’agit...
Une nouvelle entrée en scène pour les jeunes Fransaskois Le Conseil culturel fransaskois propose pour la première fois aux jeunes de moins de 18 ans de monter sur leur...
La francophonie, parent pauvre du postsecondaire L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone.
Elsie Miclisse à micro ouvert L’animatrice Elsie Miclisse a quitté la barre de l’émission matinale Point du jour de Radio-Canada Saskatchewan pour...
Des dossiers chauds pour deux secrétaires parlementaires francophones Les députés Marc Serré et Marie-France Lalonde ont été respectivement nommés secrétaires parlementaires auprès de la ministre aux Langues...
18 juin 2019 FAJEF 19916 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer