27 février Politique Les Fransaskois au rendez-vous du Parlement jeunesse pancanadien Une cinquantaine de jeunes issus des quatre coins du pays se sont retrouvés de façon virtuelle pour la 11e édition du Parlement jeunesse...
Le Mois de l’histoire des Noirs tourné vers l’avenir Le moment fort de cette cérémonie était sans aucun doute le témoignage de Carol LaFayette-Boyd, descendante de familles noires venues au Canada au...
Une nouvelle direction à la Société canadienne-française de Prince Albert La Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) a annoncé la nomination de Soraya Ellert au poste de directrice générale.
Corneille apporte la lumière, « une histoire de la Création » Corneille apporte la lumière, une légende inuite, écrit par Brandy Hanna, a été traduit en français et publié en janvier 2022 par les Éditions de...
Droits linguistiques : où s’en va la Cour suprême du Canada ? Les juges doivent-ils interpréter la Charte canadienne des droits et libertés de façon large et libérale ou restrictive ?
18 juin 2019 FAJEF 19916 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer