16 février Regina L’ACFR à la reconquête des Fransaskois L’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a lancé au début du mois de février un sondage afin de revoir sa programmation et...
Ode à la bibliothèque Le nouveau projet artistique de Byrun Boutin-Maloney, alias Byrun Beets, utilisera les ressources du studio d’enregistrement...
Dune, ou la rencontre mystique entre Denis Villeneuve et Frank Herbert Dune, c’est l’histoire de Paul Atréides, un jeune homme brillant destiné à vivre une épopée hors du commun et plus grande que ce...
Les ÉNP se dotent d’une direction générale Pour la première fois en 38 ans, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) bénéficient d’une direction générale.
La démence n'est pas une fatalité De nombreuses stratégies de prévention permettent d'entretenir les capacités cognitives des gens à risque de souffrir de démence.
18 juin 2019 FAJEF 19916 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer