Être francophone au Canada demande une conviction inébranlable et une résilience sans borne. Il faut être vigilant à tout moment et faire preuve de solidarité si nous voulons survivre.

Katarína Fašiangová est une véritable passionnée de la langue française comme nous en trouvons peu. Elle a choisi de quitter son pays natal, la Tchécoslovaquie (aujourd’hui la Slovaquie), pour permettre à ses enfants d’apprendre et pratiquer le français régulièrement.

Il me semble qu’il n’y a pas si longtemps, on se souhaitait bonne et heureuse année 2018. Comme d’habitude, l’actualité nous en aura fait voir de toutes les sortes, pour ne pas dire de toutes les couleurs.

La culture d’origine d’une personne n’est qu’une partie de son identité. C’est l’empreinte culturelle que fait sa famille, son lieu de naissance et l’histoire culturelle qui lui est propre constitue une part fondamentale de l’identité d’une personne, mais il y a beaucoup plus que cela qui la définit comme de son apport au monde.

Les provocations de la Québécoise Denise Bombardier et les coupes de l’Ontarien Doug Ford ont été encaissées. Après ce fut le déluge, la résistance. Personne ne semble avoir anticipé la maturité politique et médiatique des Franco-Ontariens.