Journée du chandail orange et la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation


Ce fut une journée émouvante, lumineuse et riche en apprentissages pour nos élèves. Nos écoles ont organisé plusieurs activités reliées à la Journée de la vérité et la réconciliation et des activités de développement professionnel destinées au personnel, qui visent à étoffer nos connaissances sur les Premières Nations et leur vision du monde.


École de Bellegarde

L'école de Bellegarde a tenu à rendre hommage aux enfants qui n'ont jamais pu retourner chez eux et aux survivants des pensionnats. Plusieurs activités ont eu lieu à l'école pour marquer la journée du chandail orange.


École Boréale

En cette journée nationale de la vérité et de la réconciliation, les élèves de l’école Boréale rendent hommage aux enfants qui ne sont jamais rentrés chez eux.


Pavillon Monique-Rousseau de l'École canadienne-française

Un moment de rassemblement dans un esprit de réconciliation.


Pavillon Gustave-Dubois de l'École canadienne-française

Les élèves du PGD ont assisté à une belle présentation, suivie d’une période de réflexion afin de souligner la journée nationale de vérité et réconciliation qui aura lieu demain.


École St-Isidore

Les élèves de la 3e à la 9e année ont participé aux journées du patrimoine à Wanuskewin Heritage Park le 23 septembre en préparation de la Journée nationale de la vérité et réconciliation.

 

Imprimer
1918 Noter cet article:
Pas de note

Actualité juridique (L'Eau vive)

Louis Riel pendu deux fois Louis Riel pendu deux fois

Louis Riel pendu deux fois

Le verdict est tombé comme un couperet. Les contraventions de Gilles Caron et Pierre Boutet ne rendront pas les provinces de la Saskatchewan et de l'Alberta bilingues.
Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

La Cour suprême rejette les arguments des avocats de Caron-Boutet

Dans un jugement anticipé depuis 12 ans, la Cour suprême a rejeté les arguments des demandeurs et déclaré que « la Constitution n’oblige pas l’Alberta à édicter et publier des lois et règlements en français et en anglais. »

RSS
Première567810121314Dernière

Nouvelles de l'AJEFS


Centre Info-Justice

L'AJEFS sur Facebook