On se divertit certainement, pas définitivement !
Bayla Pollick

On se divertit certainement, pas définitivement !

Indéniablement, on s’amuse dans cette chasse aux anglicismes. Une chasse qui n’en finit pas. En voici un nouveau florilège.

Il était une fois un jeune Fransaskois très sympa. C’était la fin de l’année académique l’année scolaire à l’école Monseigneur de Laval et ce dernier devait passer réussir un examen oral important en français.

Malgré la compétition la concurrence acharnée entre les étudiants, il était heureux d’être l’un des candidats éligibles admissibles à l’épreuve.

Il avait, naturellement, hâte de compléter d’achever ses classes, de graduer recevoir son diplôme, et aussi de livrer prononcer un discours lors de la cérémonie de graduation de fin d’études.

Avec tout le support soutien de sa famille, il a initié entamé l’écriture de son allocution. Assis à son bureau, il a vérifié le niveau de la batterie de son portable, projetant de la recharger éventuellement plus tard. Il s’est ensuite mis à taper la copie digitale numérique de sa présentation.

Il a employé toute son énergie créative créatrice. Il était content de s’être enregistré inscrit aux activités les plus stimulantes, comme les cliniques ateliers et les cours privés particuliers où, en cette décade décennie, il avait appris les choses qui faisaient avaient du sens pour lui.

Certes, il avait passé du temps à l’arcade la salle de jeu électronique à s’amuser avec ses copains et avait pris part à la pratique l’entraînement de son équipe de hockey.

Mais ce temps n’était pas perdu, car à chaque stage étape de son vécu, notre ado très versatile polyvalent avait développé ses habiletés aptitudes.

Ayant adressé abordé de nombreuses questions pertinentes, il a étoffé son adresse discours, étant confortable à l’aise avec tous les points couverts. Il se voyait déjà devant son audience auditoire.

Il voulait être ingénieur-conseil, se comptant s’estimant chanceux d’avoir les marques notes requises pour suivre un tel parcours. Il ne voulait rien prendre tenir pour acquis, bien sûr, mais il réalisait se rendait compte que son travail portait ses fruits.

Il a donc envoyé par courrier enregistré recommandé une application un formulaire de demande avec deux lettres de référence recommandation à l’Université de la Saskatchewan.

Chaque jour, il allait à la boîte à mail aux lettres, en attente d’une réponse favorable. Tous ses documents étant en ordre en règle, il avait toutes les raisons d’y croire. Tout regardait s’annonçait bien pour l’avenir.

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