12 mai La vie des élèves Les jeunes orateurs à la barre de la Journée du droit Les jeunes Fransaskois ont été invités à débattre de ces questions épineuses lors de la Journée du droit 2021 le 30 avril.
Les Éditions de la nouvelle plume quatre fois honorées Quatre livres publiés aux Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) ont été sélectionnés pour le Prix du livre français 2021 des Saskatchewan Books...
Festival folk de Regina: Quand la musique est bonne Fraîchement arrivée à la barre de la direction artistique du Festival folk de Regina, Amber Goodwyn entame une nouvelle phase d’une...
Un plus pour les francophones dans le Recensement 2021 Le recensement de 2021 pourrait mener à davantage d’écoles et de services gouvernementaux fédéraux pour les minorités linguistiques.
La fièvre du bingo s’empare des Fransaskois Depuis le début de la pandémie, les activités de bingo en ligne organisés par les organismes fransaskois font fureur depuis...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8587 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer