11 juin Francophonie Assemblée des députés communautaires: du PDG à l’Académie Rivier Pour la deuxième fois cette année, les députés de l’Assemblée communautaire fransaskoise se sont réunis en ligne pour discuter des...
Le camping au Canada : un loisir devenu identité Des facteurs économiques, technologiques et même militaires expliquent pourquoi le camping s’est répandu partout au pays.
Trouver le filon pour rapprocher les francophonies canadiennes Initié par le gouvernement du Québec, le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes rassemblera leadeurs, experts et citoyens...
Antigone, ou comment adapter un classique dans un milieu contemporain Récipiendaire du Prix du meilleur film canadien au Festival international du film de Toronto, Antigone (2019) est un incontournable pour...
Honey Constant, ninêhiyaw-iskwêw Crie, francophone, archéologue et artiste perleuse, Honey Constant est une jeune femme plus qu'inspirante.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8587 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer