21 juillet Littérature Mon écologie : recueil du poète fransaskois Alasdair Rees Poète et étudiant en maîtrise à l’Université de la Saskatchewan, Alasdair Rees nous présente son recueil Mon...
Une Acadienne prend la présidence de la FCFA Liane Roy est la première Acadienne depuis 2007 à occuper le poste de présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne
Des membres divisés à Moose Jaw Un climat hostile et des accusations de part et d’autre ont marqué l'l’assemblée générale...
Vision d’avenir et bilan d’une année hors norme à l’ACF « On veut faire des choses qui nous plaisent, et on concentre notre action là-dessus », affrime le président...
Pour une communauté plus verte L’Assemblée communautaire fransaskoise a embauché Melaina Sutherland, une passionnée d’écologie et étudiante au baccalauréat...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8580 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer