26 août Musique Se faire une place grâce au Festival international de la chanson de Granby Le Festival international de la chanson de Granby se donne depuis plus de 50 ans la mission de promouvoir la chanson francophone au...
Chroniques d’un ornithologue - Chapitre 1 : L’entraînement L'Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan a pour but d’évaluer la situation, la répartition et l’abondance relative des...
Mise en orbite de nouvelles voix au Festival folk de Regina Cet été, le Festival folk de Regina a présenté une série condensée de concerts propulsant sur le devant de la scène de nouvelles...
Les partis politiques respectent-ils leurs promesses électorales ? La croyance populaire veut que les élus ne respectent pas leurs promesses, mais la réalité est tout autre selon les politologues.
The Twentieth Century : Matthew Rankin réinvente l’esprit canadien Le filrm The Twentieth Century (2019) présente une reconstitution ultra-stylée de la première élection de William Lyon...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8568 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer