30 septembre Autochtones / Métis La Journée de la vérité et réconciliation et celle du chandail orange En cette journée nationale de la vérité et de la réconciliation, l'eau vive se penche sur l'impact du symbole du chandail orange et...
Nyenimana remporte Nouvelle scène 2021 Après son triomphe à Nouvelle Scène, Nyenimana représentera la Saskatchewan au prestigieux concours Chant'Ouest l’année...
Cinq conseils pour prendre de belles photos des feuilles d’automne Partagez vos plus belles photos de l’automne avec nous ! Envoyez-nous vos meilleurs clichés à redaction@leau-vive.ca.
George Stamos présente son nouveau solo en exclusivité à Regina En tournée dans l’Ouest canadien, George Stamos métamorphose la nuit.
Comment les pâturages secs ont découragés les éleveurs Les cultures de la Saskatchewan ont souffert du manque d’eau durant presque toute la saison agricole 2021. Les éleveurs fransaskois...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8557 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer