13 octobre Chronique environnement Le castor, aussi à l’aise en ville qu’à la campagne ? Ayant frôlé l’extinction des mains des colons européens, les castors recolonisent aujourd’hui une grande partie de leur aire de...
Que penser de l'« ordimobile » Depuis plusieurs années, l’ordinateur prend une place de plus en plus présente dans nos véhicules.
Comment régler le problème des consultants en immigration peu scrupuleux Pour Luisa Veronis, professeure agrégée à l’Université d’Ottawa, il faudrait scruter les processus d’immigration du...
Le CÉCS au chevet de la fransaskoisie durant la pandémie 547 emplois créés, 172 000 dollars d'investissements dans différents projets et pas moins de 18 nouvelles entreprises francophones ayant...
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8557 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer