26 octobre Autochtones / Métis Suis-je un colon? Jérôme Melançon s'interroge sur l'usage du terme « colon », qui est de plus en plus utilisé par des personnes non...
Vers un nouveau modèle de conservation de la faune sauvage ? Le modèle nord-américain de conservation de la faune sauvage est une doctrine vieille de 160 ans. Un modèle prédominant pour les organismes...
Des balados en français pour les écoles Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière,...
La FCFA demande quatre amendements au projet de loi C-32 Avant l’assermentation du prochain cabinet de Justin Trudeau, la Fédération des communautés francophones et acadiennes prend soin...
La distorsion de l’espace: les symptômes post-pandémie Au cours de cinq chroniques, Frédéric Dupré compte vous présenter quelques-unes des transformations radicales qui sont en train de redéfinir les...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8557 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer