21 octobre 2ELGBTQ Laurent Francis Ngoumou: sa bataille pour les droits des immigrants LGBTQ+ À 34 ans, Laurent Francis Ngoumou jette un regard lucide sur son Cameroun natal, où il a souvent senti qu’il était dangereux...
Comment accueillir les réfugiés afghans adéquatement en français? Quel est rôle à jouer des communautés francophones dans l’installation des réfugiés afghans dans les diverses régions du Canada?
Retour sur la 41e AGA de la Fédération des francophones de Saskatoon La FFS est en bonne santé financière et a annoncé un calendrier 2021-2022 plein de nouveautés axées majoritairement sur la culture.
La Fransaskoisie en danger selon ses élus La pandémie fait peser d’après eux un poids énorme sur les épaules des organismes communautaires qui doivent jongler entre annulation...
Comment favoriser la communication entre les organismes francophones? Les instigateurs du Partenariat provincial interculturel ont lancé un microsite web pour une communauté plus harmonieuse.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8557 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer