Francophonie 21 septembre 2021 Denis Desgagné tourne une nouvelle page de son « entrepreneuriat social »
20 septembre Politique La francophonie milite pour se faire entendre L'Assemblée Communautaire Fransaskoise et d'autre organismes francophones en situation minoritaire ont multiplié les actions...
Peu de surprises au débat sur les enjeux francophones Qu'est ce qui est ressorti du débat sur les enjeux francophones ? Si plusieurs thèmes ont fait l’unanimité quant à...
Soirée électorale : Radio-Canda aspire à être moins « québécocentriste » La Société Radio-Canada affirme qu’elle tiendra compte de la francophonie canadienne dans sa présentation de la soirée électorale, le...
Quand la haine s'invite aux élections Vous avez vu, fin août, la meute de citoyens s'en prendre au premier ministre Justin Trudeau et ces images le montrant sur un échafaud,...
Chroniques d’un ornithologue - Chapitre 3 : Le Nord Dernier chapitre de notre série sur l’Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan. Nous partons pour le Nord.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8568 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer