12 juillet Musique Anique Granger brille de mille trilles L’auteure-compositrice-interprète fransaskoise Anique Granger a remporté de grands honneurs lors des galas Trille Or qui se sont déroulés en...
Rapprochement estival pour des familles fransaskoises et montréalaises L’organisme québécois à but non lucratif Ruelle de l’avenir a offert un camp virtuel hybride et gratuit aux familles montréalaises et...
CAFS : une AGA sous le signe du consensus La Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan se montre résiliente malgré les contraintes de la pandémie lors de son...
Les communautés religieuses francophones au cœur des pensionnats Pendant plus de 80 ans, l’Église catholique avait géré l’ancien pensionnant autochtone de Marieval, où 751 tombes ont...
Un passé francophone au cœur des États-Unis Ste. Geneviève, une petite ville du Missouri, dévoile son passé francophone peu connu et constitue une destination touristique...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8580 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer