4 mars Arts visuels Olivier Gentillon, un pionnier noir en Saskatchewan Le 22 février, le portrait du docteur Olivier Gentillon, conçu par l’artiste visuel Xavier Mutshipayi, a été dévoilé.
La rivière Churchill et la rivière Frenchman: deux rivières qui font rêver La rivière Churchill et la rivière Frenchman sont deux rivières qui font rêver, mais il faut attendre l'été pour les explorer en canot ou...
Réflexions sur l’ère pré-internet Maintenant que l’internet et les réseaux sociaux sont des incontournables, on se demande comment pouvait bien circuler l’information...
Les jeunes invités à entrer dans l’Atelier de Joe Fafard Le Conseil culturel fransaskois (CCF) lance un guide pédagogique destiné aux élèves en écoles francophones et d’immersion.
L’empathie culturelle, un nouveau réflexe à adopter Le Consortium national de formation en santé veut comprendre les influences culturelles de la communications en santé.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16434 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer