Chronique environnement 18 février 2021 La Saskatoon Nature Society met en valeur les joyaux de la nature
16 février Aventure et plein air L’agence Docastaway offre l’expérience d’un naufragé sur une île déserte blues L’agence Docastaway offre deux types d’expérience, une nommée Confort et l’autre Aventure. Cette dernière se compare à une...
Deux billets de 20 dollars, deux visions des États-Unis L'administration Biden envisage de remplacer Andrew Jackson sur les billets de 20 dollars par Harriet Tubman.
Le CCF lance un projet de production vidéo pour les jeunes Lle Conseil culturel fransaskois lance un projet créatif de persévérance chez les jeunes s’articulant autour de la production...
Google sommé de rémunérer les journaux dont il profite Alors que Google France vient de signer un accord historique avec la presse française, ses pairs canadiens aspirent eux aussi à obtenir leur part...
Des soirées de lecture aux familles et francophones La Communauté francophone accueillante (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg a offert une soirée de lecture aux familles francophones.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16434 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer