25 janvier Moose Jaw Entretien opa avec Corinne Dourlent, ancienne directrice générale de l’ACFMJ Des tensions à nouveau dénoncées dans la fransaskoisie Entretien avec Corinne Dourlent, directrice générale de l’ACFMJ de septembre 2019 à novembre 2020, témoigne d’une...
Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient Le début du semestre d’hiver est l’occasion de revenir sur l'expérience étudiante inédite à la Cité universitaire francophone...
Cinquante ans plus tard, toujours francophone fier de l'être ! En 1969, Richard Dupas n'avait que 12 ans lorsque le journaliste et animateur Henri Bergeron de Radio-Canada l'a interviewé à la...
Le voyage d'un recueil de poésie sur fond de pandémie, de nostalgie et d’espoir Thuy Nguyen : Quand l’espoir fait écrire Originaire du Vietnam, la poétesse a élu domicile au Canada il y a près de deux décennies et vit maintenant en Saskatchewan depuis 2011. ...
La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16453 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer