8 février Santé Les vaccins expliqués par une technicienne de recherche en virologie Vitalité 55+ Saskatchewan a organisé le 26 janvier une présentation en ligne sur les vaccins.
Annulation de Keystone XL : un coup dur pour l’Ouest canadien L'annulation de l'extension de l'oléoduc Keystone XL signifie que la Saskatchewan doit diversifier davantage son économie
La communauté réaffirme son soutien au projet de Prince Albert Le ministre de l’Éducation a rencontré les présidences d’organismes fransaskois afin de discuter du projet de nouvelle école...
Éducation en français sous respirateur artificiel Ça va mal dans le monde de l’éducation universitaire en français en Ontario
La notation humanitaire, un « soulagement » pour la population étudiante Des universités canadiennes ont adopté un système de notation où les étudiants peuvent désormais choisir la mention « réussite » ou...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5096 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer