12 mars Littérature Quelle littérature francophone pour l’Ouest? Il existe une littérature québécoise, une littérature franco-ontarienne ou une littérature acadienne, qu’en est-il dans l’Ouest?
Unis TV à la rencontre d’éleveurs fransaskois La deuxième saison de la série albertaine Cow-boy urbain explore la vie de rancher en Saskatchewan.
Élan de solidarité à Saint-Denis Une vingtaine de citoyens ont assisté aux Assemblées générales annuelles du Centre communautaire de Saint-Denis et du Club culturel...
Prince Albert: Le projet de l’école Rivier expliqué à la communauté Les détails du projet d’acquisition de l’Académie Rivier de Prince Albert ont été explicités au cours d’une...
Journée internationale des femmes et des filles de science ONU Femmes a décrété le 11 février Journée internationale des femmes et des filles de science afin de « favoriser la participation...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5079 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer