22 janvier Portraits et entretiens Cinquante ans plus tard, toujours francophone fier de l'être ! En 1969, Richard Dupas n'avait que 12 ans lorsque le journaliste et animateur Henri Bergeron de Radio-Canada l'a interviewé à la...
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Raquettes, patins à glace, ski: profiter de l’hiver malgré la pandémie L’hiver est synonyme pour beaucoup de raquettes, patins à glace et ski. En dépit de la COVID-19, les Saskatchewanais peuvent tout de...
La vie après le hockey : une pièce de théâtre réconfortante La Troupe du Jour a lancé sa saison 2020-2021 en décembre avec la pièce La vie après le hockey, une traduction par Michel Garneau de la...
Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :
13 décembre 2017 Pierre-Émile Claveau 45935 2017, ACFR - Association communautaire fransaskoise de Regina, Communautaire, Politique AGA ACFR : une date grandement critiquée! La communauté fransaskoise a réagi haut et fort sur le choix de la date de la prochaine assemblée générale annuelle de l’Association canadienne-française de Regina. Près de huit mois après la fin de l'exercice financier, l’organisme fransaskois a finalement envoyé une convocation pour son assemblée générale annuelle. Toutefois, les membres ont eu toute une surprise en apprenant que la date choisie était le 27 décembre prochain. Sur la page Facebook de l’Eau vive, le Réginois Gilles Groleau a exprimé son désarroi en mentionnant qu’il s’agit d’un choix irrespectueux envers les membres et la communauté fransaskoise. « Comment peut-on faire une assemblée générale alors que la plupart des bureaux des associations sont fermés et que plusieurs personnes seront en congé avec leur famille ou à l’extérieur de Regina ? » La directrice du Conseil culturel fransaskois, Suzanne Campagne, était stupéfaite lorsqu’elle a reçu la convocation. Selon elle, l’organisme essaie de réduire la participation des citoyens réginois à leur assemblée. « On attend cette AGA depuis longtemps. On nous la promet depuis longtemps. Et là de le faire le 27 décembre, c’est comme de dire, ‘tenez, la voici votre rencontre annuelle! ‘ Et ça, c’est vraiment insultant. » De son côté, Marie Galophe ne voit aucun inconvénient quant à la date choisie puisqu’elle travaillera cette journée-là. Cependant, la coordonnatrice du Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan comprend que la date peut ne pas convenir à tous les membres, notamment en raison des vacances de Noël. Silence radio du côté de l’ACFR Invité à répondre à ces critiques, le président de l’ACFR, Siriki Diabagaté, n’a pas souhaité faire de commentaires. L’Eau vive a offert à l’ACFR de publier un communiqué ou autre commentaire expliquant le choix de la date de l’AGA. Le conseil d’administration n’a pas donné suite à notre offre. Le président de l'ACFR Siriki Diabagaté. Photo : Archives Partager Imprimer