17 septembre Communautaire Entretien Marie-France Kenny quitte la Saskatchewan La chef de file fransaskoise a dit au revoir à la Saskatchewan ce 24 août pour rejoindre sa famille à Repentigny, en banlieue de Montréal. La...
Retour sur la 39e rencontre de la Table des élus fransaskois Pandémie, discrimination, cyberintimidation, élections à venir… Voilà quelques-uns des sujets abordés lors de la 39e rencontre de la Table...
Le premier Conseil canadien de la jeunesse agricole est dévoilé Le 25 juillet dernier, la ministre fédérale de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, l’honorable Marie-Claude Bibeau, a...
Lancement de Peines perdues de Gilbert Troutet : une mosaïque tissée serrée Le 22 août, pandémie oblige, le lancement de Peines perdues, de Gilbert Troutet, a eu lieu dans un cadre intimiste en plein air.
Édition virtuelle du Forum national des jeunes ambassadeurs Des jeunes ambassadeurs connectés Le Forum national des jeunes ambassadeurs (FNJA) a rassemblé cette année 40 jeunes bilingues issus des quatre coins du pays pour une édition en...
18 février 2019 Simb Simb 41858 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer