Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale 7 août 2020 Un vrai selfie : une invitation aux jeunes
7 août Cinéma Zinder, à l’aune des oubliés Un Fransaskois filme la dure réalité de sa ville natale au Niger Le Fransaskois d’adoption et réalisateur Ousmane Ilbo a dévoilé le 6 août un documentaire poignant intitulé Zinder, à l’aune des...
Consultation sur les espaces scolaires et communautaires de Regina Quelle forme les espaces scolaires et communautaires prendront-ils dans les années à venir ? C’est la question qu’a posée...
Éemi (re)fait chanter les abeilles L’artiste fransaskoise Émilie Lebel, alias éemi, a mis à profit son confinement en collaborant avec le musicien Lévi Soulodre, lui aussi de...
Santé en français : écarts entre obligations légales et offre active Dans une étude rendue publique en juin 2020, les chercheurs de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques espèrent...
Sénat : Des attentes élevées chez les francophones de l’Ouest Avec 3 sièges vacants pour l'Ouest au Sénat du Canada, l’Assemblée communautaire fransaskoise réitère une demande exprimée depuis...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24982 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer