11 août Société Faire plus avec moins en cuisine: sept astuces de la Seconde Guerre mondiale Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Canadiens ont fait des potagers, composé avec des pénuries et géré des coupons de...
Flou artistique entourant la modernisation de la Loi sur les langues officielles La ministre du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, a laissé présager un «projet...
La pandémie accroit-elle les inégalités économiques au Canada? FRANCOPRESSE – On pourrait penser que la crise provoquée par la pandémie contribue à la croissance des inégalités économiques....
Le financement du gouvernement fédéral nuit-elle à leur indépendance Les associations porte-paroles francophones: porte-paroles d’Ottawa? La dépendance des associations porte-paroles des francophones au financement du gouvernement fédéral nuit-elle à leur indépendance?
Quarante-huit jours de vélo pour rentrer à la maison Le coronavirus a motivé un jeune homme grec à pédaler quelque 3 490 km, à travers l’Europe pour rejoindre son foyer en pleine pandémie.
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24982 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer