8 juillet Aventure et plein air Six conseils pour améliorer vos photos d’animaux sauvages Voici des secrets professionnels pour améliorer vos photos de la faune.
Trois ans en canot pour établir un record Voici les hauts et les bas d’une aventure de trois ans étalée dans plus de douze pays.
Produire local, le nouveau défi des francophones de Regina Un jardin communautaire à l’école Mgr de Laval à Regina REGINA - L’Association canadienne-française de Regina a inauguré son tout premier jardin communautaire le 15 juin dernier sur le terrain de...
Prendre soin de sa santé mentale durant une pandémie Avec l’assouplissement des règles de confinement arrivent les divergences de compréhension : c’est quoi encore ma bulle ? Masque...
L’Eau vive consacré meilleur journal de la francophonie canadienne en 2020 Le journal fransaskois l’Eau vive a été consacré Journal de l’année par l’Association de la presse francophone.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8690 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer