20 février Politique Dur, dur, la démocratie Au Canada, nous avons la chance d’avoir un premier ministre qui n’a pas fait reculer les mesures de protection environnementale de 20...
Le début d’une aventure européenne pour Ponteix Fin janvier 2020, le trio est parti à la rencontre du public français pour tester les eaux du marché outre-Atlantique.
Le vapotage, nouveau péril jeune? Dans les messages postés sur Instagram, les publications flatteuses sur le vapotage se comptent par milliers. Premières cibles : les...
La contribution oubliée des Noirs à l’édification du Canada En ce mois de l’histoire des Noirs, le Dr Amadou Ba revient sur des chapitres négligés de l’histoire du pays.
L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété.
17 décembre 2014 Jean-Pierre Picard (EV) 37624 2014, AJF - Association jeunesse fransaskoise, Société, Jeunesse Le Parlement jeunesse fransaskois de l’AJF: Une expérience qui laisse sa marque Lundi matin. Dans quelques minutes le local de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF) grouillera d’élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon qui profitent de l’heure du dîner pour venir faire un tour. Le fait d’être logé dans la partie « communautaire » de l’école offre à l’AJF une occasion de proximité avec une partie de sa clientèle. À travers tout ce va et vient, son personnel s’affaire à clore le dossier du 19e Parlement jeunesse fransaskois (PJF) qui a regroupé une soixantaine de jeunes au parlement provincial à Regina la semaine dernière. Parmi ceux-ci on retrouvait 42 élèves d’écoles fransaskoises et 19 provenant du programme d’immersion. Au delà d’un exercice d’initiation au système parlementaire, le directeur général de l’AJF, Julien Gaudet, voit dans le PJF une occasion de développer un véritable esprit d’équipe. Ce sont les participants, sélectionnés selon une lettre de motivation de 250 mots, qui élaborent le contenu du PJF. « L’apprentissage du processus est encore plus important que les débats eux-mêmes » affirme monsieur Gaudet. Il a lui-même participé à plusieurs éditions du PJF et garde un excellent souvenir de l’expérience. Les organisateurs tentent d’avoir un mélange d’enjeux controversés et de sujets plus légers. Cette année, les projets de loi allaient de la peine de mort à la pose des pneus d’hiver obligatoire. Une année précédente, la question de l’avortement avait soulevé des passions alors qu’un projet de loi sur l’obligation pour chaque foyer d’avoir au moins deux poules avait donné lieu à des échanges plutôt loufoques. La motivation pour participer au PJF varie d’un jeune à l’autre. Certains ont un véritable intérêt pour l’aspect politique alors que d’autres apprécient surtout le côté social de l’activité. Mais quelle que soit la raison d’y participer, le PJF laisse sa marque. Roxanne Denis, enseignante à Vonda, a participé à 5 PJF alors qu’elle était étudiante. Cette année, elle donnait un atelier aux participants. Fait intéressant à noter, dans la foulée du resserrement des mesures de sécurité, le parlement de la Saskatchewan est le seul au pays qui ouvre encore ses portes à ce genre d’activité. Monsieur Gaudet a souligné l’importante collaboration de Dan D’autremont, le président de l’Assemblée législative, pour la tenue de l’événement. Balises PJF Partager Imprimer