12 décembre Gravelbourg Une première soirée multiculturelle réussie à Gravelbourg GRAVELBOURG - La ville de Gravelbourg, en partenariat avec l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg et la Communauté des...
Artisans, spectacle et Père Noël étaient au rendez-vous! Salle comble au marché de Noël de Regina REGINA - Une quinzaine d’artisans ont pris part au marché de Noël de l’Association canadienne-française de Régina (ACFR), organisé en...
Un photographe donne vie à la Saskatchewan oubliée En Saskatchewan, nos chemins de campagne mènent tous éventuellement à des endroits intéressants, mais parfois oubliés. Un photographe de...
« Qui perd sa langue perd sa foi » : L’Église a besoin du français pour survivre Nouvelle politique linguistique pour l'église catholique en Saskatchewan Le 20 novembre 2019, une nouvelle politique linguistique pour l’Église catholique en Saskatchewan a été signée. L’objectif à...
Les familles à l’honneur pour Noël à Moose Jaw MOOSE JAW - De nombreuses familles se sont déplacées le vendredi 6 décembre pour la 4e édition du Noël de l’Association communautaire...
18 juin 2019 FAJEF 20144 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer