12 décembre Musique Accueil chaleureux en Chine pour la compositrice originaire de Gravelbourg Nicole Lizée : Une musique jouée aux quatre coins du monde SASKATOON - Au cours des dix dernières années, les compositions de Nicole Lizée, originaire de Gravelbourg, ont été interprétées par des ensembles...
Impact des écrans sur le manque de sommeil et l'obésité Après une heure de discussion sur la place que prennent les écrans dans nos vies, Dre Samson-Arsenault retient quatre choses : limiter le...
Parler ouvertement de la santé mentale À l’aide ! Pourquoi est-ce si important de continuer à parler de santé mentale? Les statistiques sont frappantes : la Commission de la santé mentale du...
La réussite des enfants au coeur du congrès des parents fransaskois SASKATOON - L’Association des parents fransaskois (APF) a tenu son symposium le 26 octobre autour du thème « Être...
Saskatoon se prépare pour le temps des Fêtes Grande corvée de tourtières à la paroisse Saints-Martyrs-Canadiens SASKATOON - Ce sont 720 tartes riches et odorante que de nombreux bénévoles ont confectionnées à la paroisse des Saints-Martyrs-Canadiens de...
18 juin 2019 FAJEF 20144 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer