29 novembre CCF - culturel.fransaskois.net Ma quincaillerie musicale en tournée saskatchewanaise Entretien avec Ariane DesLions, fabricoleuse excentrique Le spectacle de cette fabricoleuse, multi-instrumentiste et travailleuse sociale de formation visitera plusieurs communautés fransaskoises pendant...
Regina a accueilli le congrès du Réseau des cégeps et des collèges... Le Collège Mathieu surfe sur la vague du numérique REGINA - Le Collège Mathieu était l'hôte du congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada les 6 et 7...
La Cité universitaire francophone a accueilli un colloque national Soins de santé en français : les défis de l'offre active REGINA - La Cité a accueilli le tout premier colloque dans l'Ouest canadien sur l'offre active de services de santé en français....
Retour sur une expérience théâtrale interculturelle Panser la violence, de l’Afrique au Canada La création théâtrale #Panser, de la dramaturge Natalie Fehéregyházi, est le fruit d’une résidence en République démocratique du Congo...
Entre une jeunesse qui bouge et un conservatisme religieux Retour dans les années 1970, première décennie de l’Eau vive Lors du colloque « Les médias francophones sous toutes leurs coutures » tenu à l’Université Sainte-Anne en...
18 juin 2019 FAJEF 20153 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer