Réjean Paulin 19 novembre 2019 Une francophonie en déclin? Pas sûr. Deux visions de la Francophonie se côtoient. L’une évoque l’avenir d’un Québec en évolution à côté des minorités en perdition. L’autre croit toujours en la force d’un français épanoui partout au Canada.
18 novembre Cinéma Soirée cinéma-causerie au Royal Saskatchewan Museum REGINA - Dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, l’Association canadienne-française de Regina a organisé...
Les artistes visuels francophones de l'Ouest sous-représentés à l’étranger ? Les artistes visuels francophones de l’Ouest canadien manquent-ils de visibilité et de place dans les événements internationaux?
Jacque Poulin-Denis : Une course à contre-courant REGINA - Le chorégraphe et scénographe fransaskois Jacques Poulin-Denis était de passage en Saskatchewan pour présenter sa nouvelle œuvre Running...
Ces jeunes qui changent le monde Changer le monde pour le sauver est un énorme défi. Il y a urgence. Et puisque « les fils repus du XXe siècle » ne bougent...
La co-cathédrale de Gravelbourg célébrée Cent bougies pour Notre-Dame-de-l’Assomption GRAVELBOURG - Un sentiment de nostalgie et de fierté était palpable à Gravelbourg les samedi 2 et dimanche 3 novembre. La co-cathédrale...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6456 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer