21 juillet Postsecondaire Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau...
Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année....
Explorez la rivière Saskatchewan Sud Le terme Saskatchewan vient du mot cri « Kisiskatchewani Sipi. » ou, autrement dit, ‘rivière qui coule...
Les Éditions de la nouvelle plume étaient bien présentes au Festival fransaskois Un nouveau slogan et un nouveau recueil pour la Nouvelle plume Les Éditions de la nouvelle plume ont présenté le tome 6 du recueil Théâtre fransaskois ainsi qu'un nouveau slogan en marge du Festival...
Les Colocs étaient en vedette au Festival fransaskois 2019 Rencontre avec le Coloc Mike Sawatzky à Saskatoon SASKATOON - L’édition 2019 du Festival fransaskois a accueilli la formation québécoise Les Colocs. L'Eau vive a voulu se pencher sur...
10 février 2021 Sarah Vennes-Ouellet 18379 Communautaire, Gravelbourg, Moose Jaw, Arts et culture, Littérature Des soirées de lecture aux familles et francophones Le 27 janvier, jour de l’alphabétisation familiale, la Communauté francophone accueillante (CFA) de Moose Jaw et Gravelbourg a offert une soirée de lecture aux familles francophones. Chantal Morin, coordinatrice du programme CFA, a animé via Zoom la rencontre de 30 minutes, réunissant une cinquantaine d’enfants. Trois groupes d’âge ont bénéficié de l’activité en plus de recevoir un livre en français, un jouet et un cahier de coloriage : 0 à 6 ans, 7 à 9 ans et 10 à 13 ans. Les plus jeunes ont reçu le livre Niwechihaw / J’aide de Caitlin Dale Nicholson, les 7 à 9 ans ont reçu Capri, la petite antilope des Prairies de Danielle S. Marcotte et les plus vieux Le mystère du trésor disparu de la série Geronimo Stilton. « J’ai essayé de trouver des livres qui sont typiques de la vie en Saskatchewan, explique Chantal Morin. Le premier parle d’un petit garçon qui aidait à ramasser des cynorhodons [rosehips] avec sa Nôhkom [grand-mère]. Le deuxième est un livre publié ici en Saskatchewan et parle d’une petite antilope dans les Prairies près de Val Marie. Pour le troisième, j’ai eu plus de difficultés à trouver un livre typique de la Saskatchewan alors j’ai choisi un livre populaire dans ce groupe d’âge. » Étant à la fois coordinatrice du programme CFA et animatrice de la soirée, Chantal Morin avait l’activité à cœur. « Nous avons voulu organiser une soirée de lecture en pyjamas avec les enfants bilingues de notre région de Gravelbourg/Moose Jaw. Ils sont notre futur et nous voulons qu’ils soient inclus dans notre programmation. » L’autre objectif est de rapprocher différents groupes de francophones. « Nous voulons tisser des liens entre les nouveaux arrivants et les membres établis de la communauté. Nos activités sont par et pour la communauté et les enfants et les jeunes font partie de cette communauté », souligne la coordinatrice. Une expérience virtuelle, mais chaleureuse Chantal Morin a lu le livre Niwechihaw / J’aide de Caitlin Dale Nicholson au groupe d'enfants de 0 à 6 ans Crédit : Sarah Vennes-Ouellet Les enfants commencent à avoir l’habitude de l’apprentissage en ligne, ce qui a donné confiance à Chantal Morin pour que l’activité de lecture via Zoom soit une réussite. « Les enfants sont quand même à l’aise devant l’écran, surtout depuis le début de la pandémie. Ils ont très bien interagi avec moi. Puisque j’enseignais l’an dernier et j’ai eu l’expérience d’enseigner à distance avec un groupe de 1ère, 2e et 3e années, je n’avais aucun doute que ce serait une belle expérience », dit-elle. En outre, l’internet a l’avantage de rassembler des gens qui vivent à différents endroits de la province, qui plus est à l’heure de la distanciation sanitaire. « J’ai beaucoup aimé cette expérience, car nous avons eu des enfants de Gravelbourg et Moose Jaw. Les élèves ont bien aimé recevoir leurs livres et je crois que nous avons créé un début de réseautage avec les familles », se réjouit Chantal Morin. Partager Imprimer