11 mai Coup d'oeil sur le monde Amnistie internationale : Une lumière contre les ténèbres Le logo de l’organisation, une bougie entourée de fil de fer barbelé, est devenu un symbole mondial d’espoir. Il rappelle cette...
Le Francothon fait le plein ! REGINA - Cette 23e édition du Francothon a porté ses fruits en surpassant son objectif de 60 000 dollars : au total, plus de 107 000 dollars...
Les Éditions de la nouvelle plume applaudies à l’Assemblée législative REGINA - Fondées en 1984, les Éditions de la nouvelle plume ont été célébrées ce jeudi 2 mai à l’Assemblée législative de la Saskatchewan à...
ACFR : Tensions, passions et démissions REGINA - L’Assemblée générale extraordinaire (AGE) de l’Association canadienne-française de Regina (ACFR), organisée ce samedi 4 mai...
Un dernier au revoir à Joe Fafard REGINA - Environ 500 personnes sont venues rendre un dernier hommage à l’immortel artiste fransaskois Joe Fafard à la MacKenzie Gallery de...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8841 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer