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Financement agricole Canada: Des subventions bienvenues, bien qu’inégales Financement agricole Canada a remis 50 000 dollars à 23 organismes francophones à travers le pays et 150 000 dollars à 21...
Santé mentale: Les gestes AÉRIE et le bon sens Soutenir une personne qui développe un problème de santé mentale ou qui traverse une crise de santé mentale sous-entend mettre en application son...
Les conservateurs de Jason Kenney s’accrochent à l’illusion pétrolière L’Alberta de Jason Kenney entend baigner dans l’huile avec l’élection d’une majorité de 63 sièges sur 87 à la législature,...
Des Fransaskois révèlent leur destination de camping préférée D’après leurs réponses, les Fransaskois du Sud campent dans le Sud et les Fransaskois du Nord campent dans le Nord. Peu importe où vous...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8841 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer