25 avril Postsecondaire Le Collège Mathieu en pleine planification Avec un questionnaire en ligne distribué aux membres des organismes francophones, du gouvernement et de la communauté, le Collège Mathieu réalise...
Vivre avec l’autisme : un père de famille témoigne Samuel a reçu un diagnostic du trouble du spectre de l’autisme alors qu’il n’avait que 3 ans. Il y a 10 ans, les...
Transferts en éducation: Ah, si les provinces voulaient… Le gouvernement fédéral a prévu de l’argent dans son récent budget pour les écoles françaises. Cela dit, le bât blesse quelque part....
Une bande dessinée pour favoriser le dialogue interculturel Ce projet original de bande dessinée présente un nouvel arrivant, Nelson, qui fait face à des situations loufoques, parfois déstabilisantes dans...
Points saillants de la 105e Assemblée des députés communautaires fransaskois L’ACF considère délaisser les services directs à la population REGINA - La première rencontre en 2019 de l’Assemblée des députés communautaires a mis la table concernant les orientations de...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16687 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer