26 novembre L'Apostrophe Nationalisme versus Patriotisme Selon le président français, Emmanuel Macron, le nationalisme est le contraire du patriotisme et porte les semences de la haine identitaire...
Métis et francophones commémorent la journée Louis Riel SASKATOON - Le 16 novembre dernier, à la Station 20 West de Saskatoon, avait lieu la célébration de la Journée Louis Riel, journée célébrée en...
Maladie débilitante chronique : « prions » pour que ça s’arrête là ! Récemment, le ministère de l’Environnement de la Saskatchewan annonçait le 34e cas répertorié cette année de la maladie débilitante...
Les Jours de la Radio Les radios communautaires du Canada se retrouvent L’Alliance des radios communautaires du Canada (ARC du Canada) et l’Association des radios communautaires du Québec (ARCQ) ont joint...
L’Organisation internationale de la Francophonie : rien ne va plus Michaëlle Jean espérait se voir confier un deuxième mandat en tant que secrétaire générale de l’Organisation internationale de la...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16663 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer