1 janvier Santé Les nouvelles technologies ont-elles raison de votre cou ? La maladie du texto Avec près de 5 milliards de détenteurs de téléphones portables et un temps de navigation quotidien estimé à 6 heures, vous n’êtes...
Un nageur met fin à sa traversée de l’océan pacifique Benoît Lecomte ne traversera pas l’océan Pacifique à la nage. Le Français de 51 ans tentait de nager entre le Japon et les États-Unis. Son...
L’équilibre de son bien-être Nous y sommes arrivés. C’est le mois de décembre ! Impossible de ne pas être influencé, soit de façon positive ou négative, par le...
Ne pas se faire passer un sapin Il faut garder un sapin de Noël artificiel pendant au moins 20 ans afin d’assurer qu’il ait moins d’impact écologique...
Christian Fure : directeur le jour, chercheur le soir PRINCE ALBERT - Christian Fure est un nouvel employé de la Société canadienne-française de Prince Albert. Il est détenteur d’une...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16670 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer