1 février La Trinité Portrait des régions fransaskoises La région de la Trinité : un bastion de la francophonie en Saskatchewan ST-DENIS Quand on mentionne la région de la Trinité en Saskatchewan, on fait allusion à trois communautés pionnières de la francophonie de la...
Entente sur l'avenir du Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan L'ACF pourra reprendre le RIF-SK en main REGINA - L’Assemblée communautaire fransaskoise et le Conseil économique et coopération de la Saskatchewan ont annoncé aux membres du...
Surprise aux Communes : Un premier discours interprété en langue autochtone Les règles adoptées et la mécanique en place, le député Robert Falcon-Ouellette n’a pas attendu, pour faire le premier discours en langue...
Des Fransaskois partagent des conseils de voyage Afin de vous faire épargner de l’argent et d’augmenter la qualité de votre prochain petit séjour ou grande odyssée, voici des conseils...
Le théâtre Oskana annule le reste de sa saison REGINA - Le théâtre Oskana fondé en 1990 traverse une nouvelle période difficile. Son directeur artistique et dramaturge de renom, Laurier...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16673 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer