27 septembre CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan AGA du CECS à Zenon Park ZENON PARK - Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu sa 71e assemblée générale annuelle le 7 septembre 2018 à Zenon...
Éducation 2.0 On attribue à l’empereur Charlemagne la création de l’école. Depuis ce temps, l’éducation a pris une importance primordiale dans...
Vernissage de Éphémère, exposition solo d’Anne Brochu Lambert Le dimanche 9 septembre, une vingtaine de personnes se sont rendues à la galerie publique du Collège St-Thomas More de Saskatoon pour...
Les aînés à l’ère de l’intelligence artificielle. Dans les maisons ou logements habités par des aînés, un réseau informatisé, incluant toutes sortes de capteurs, pourrait veiller sur la santé et...
AGA de l'ACFR : Un surplus...un soulagement ! REGINA - Le surplus de 31 629 $ annoncé par l’organisation quelques jours avant l’AGA a semblé soulager les membres et...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8889 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer