20 juillet CCF - culturel.fransaskois.net Kaya Free, vainqueur de Nouvelle scène 2018 ! Kaya Free a non seulement conquis le coeur du jury principal de Nouvelle scène, mais également celui du public, ainsi que celui du comité...
Errance agricole Pour ce texte, j’ai tout simplement décidé de laisser vagabonder mon imagination à la lumière d’observations dans la région et aussi,...
L’enseignement peut-il sauver le français en Louisiane ? Le choix de Théo, documentaire coproduit par le professeur Thomas Cauvin et réalisé par Mi KL Espinasse, met en lumière le renouveau du français...
Carmen Campagne est décédée à 58 ans La Diva des petits s'éteint L’auteure-compositrice-interprète fransaskoise, Carmen Campagne, que l’on surnommait la diva des petits, s’est éteinte le 4...
La santé mentale dans les champs Les agriculteurs doivent subir un mélange de variables qui, plus que souvent, ne sont pas sous leur contrôle. Beaucoup de pressions qui...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8848 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer