27 septembre CÉCS - Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan AGA du CECS à Zenon Park ZENON PARK - Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a tenu sa 71e assemblée générale annuelle le 7 septembre 2018 à Zenon...
Éducation 2.0 On attribue à l’empereur Charlemagne la création de l’école. Depuis ce temps, l’éducation a pris une importance primordiale dans...
Vernissage de Éphémère, exposition solo d’Anne Brochu Lambert Le dimanche 9 septembre, une vingtaine de personnes se sont rendues à la galerie publique du Collège St-Thomas More de Saskatoon pour...
Les aînés à l’ère de l’intelligence artificielle. Dans les maisons ou logements habités par des aînés, un réseau informatisé, incluant toutes sortes de capteurs, pourrait veiller sur la santé et...
AGA de l'ACFR : Un surplus...un soulagement ! REGINA - Le surplus de 31 629 $ annoncé par l’organisation quelques jours avant l’AGA a semblé soulager les membres et...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16659 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer