17 août CCF - culturel.fransaskois.net Festival Fête fransaskoise 2018 : une édition réussie PIKE LAKE - Près de 700 personnes se sont données rendez-vous au parc provincial de Pike Lake pour les trois jours d’activités et de...
Félix Leclerc et les phares des Prairies J’étais sur la route, le 8 août dernier, et j’écoutais la radio de Radio-Canada. Quelques émissions ont souligné le décès de Félix...
Un nouveau mandat sous le signe de la collaboration Entrevue avec Ronald Labrecque, nouveau directeur général de l'ACF Le 8 août dernier, les membres de l’Assemblée des député(es) communautaires (ADC) ont annoncé la nomination de Ronald Labrecque au poste de...
Michel Lalonde en concert chez Joe et Alyce C’est dans l’atelier du renommé sculpteur Joe Fafard que Michel Lalonde a amorcé une série de concerts intimes visant à financer la...
Langues officielles au cabinet : qui est responsable de la patate chaude? L’ambivalence de Justin Trudeau en matière de langues officielles refait surface. Retirée des mandats du cabinet fédéral en 2015, la...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16654 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer