12 avril Théâtre Une école de théâtre à Saskatoon La Troupe du Jour : Le berceau des acteurs de demain SASKATOON - Le samedi 18 mars dernier, au Studio 914 de Saskatoon, La Troupe du Jour (LTDJ) a présenté la 6e édition du spectacle de fin...
Un accident de la route décime l'équipe des Broncos de Humboldt Une communauté sous le choc, un pays en deuil Le vendredi 6 avril 2018, vers 17h30, à l’intersection des autoroutes 335 et 35, à 28 kilomètres de Tisdale, un accident impliquant...
Un stage en nutrition en Saskatchewan : témoignage Finissante du baccalauréat en sciences de la nutrition de l’Université d’Ottawa, j’ai eu la chance de réaliser un stage de trois...
Dominique Sarny quitte l'Assemblée communautaire fransaskoise REGINA - Dominique Sarny, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), a remis sa démission le 9 avril.
1 000 personnes dans les rues de 3 communautés Les Tintamarres fransaskois Trois communautés de la province, Moose Jaw, Prince Albert et Gravelbourg, ont organisé des Tintamarres le 20 mars 2018. Au total, ce sont près de...
18 février 2019 Simb Simb 42164 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer