29 mars Exposition Une installation de l'artiste Monique Martin Exposition « Paraph »: Le temps d'hier SASKATOON - Enseignante en art multidisciplinaire depuis plusieurs années, et active en maintes autres activités artistiques, Monique Martin nous...
Nicolas Roussy prend la barre du journal fransaskois Nouveau directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive Nicolas Roussy est le nouveau directeur de la Coopérative des publications fransaskoises et rédacteur en chef de l'Eau vive. Il entrera en...
"Un tramway nommé Désir" au Théâre Oskana Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Travail d’équipe pour donner le gout de la lecture aux garçons Lire avec fiston Lire avec fiston est un projet qui vise à donner le gout de la lecture aux garçons de 3e et 4e années en prêchant par l’exemple.
Immigration francophone : test controversé du ministère fédéral La pénurie de services offerts en français aura dominé l’agenda de la 12e Journée de réflexion sur l’immigration francophone de la...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6512 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer