2 février Coup d'oeil sur le monde Batoche, comme si vous y étiez Dans le roman Encountering Riel de David D. Orr, il n'y a ni bons ni méchants. C'est ce qui en fait la force.
Collaboration du Collège Mathieu, Saskatchewan Polytechnic et l'Université... Un soutien au développement de l’éducation postsecondaire en français Le Collège Mathieu, la Saskatchewan Polytechnic et l’Université de Regina ont signé une lettre d’intention visant la collaboration...
Journée des carrières en santé Le Consortium national de formation en santé de La Cité universitaire francophone de l’Université de Regina a organisé, pour la première...
Gala annuel de la diversité Deux entreprises codirigées par des Fransaskoises récompensées Deux entreprises locales distinctes, dont les copropriétaires sont des Fransaskoises, ont été récompensées lors du Gala annuel de la diversité...
Irène Chabot : hommage de trois membres de la communauté Hommages de trois membres de la communauté fransaskoise à Irène Chabot!
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8841 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer