6 juillet Voyages Réflexion de mi-séjour au Sénégal Le Sénégal, un véritable joyau Gabrielle Lizée-Prynne raconte son expérience au Sénégal au sein de l’organisation canadienne EQWIP HUBs.
Bellegarde publie une revue sur l'histoire de ses pionniers L’Association communautaire francophone de Bellegarde a publié une revue bilingue qui se penche sur l’histoire des gens qui ont...
Lancement du livre Le Trésor de Lucie REGINA - L’auteure Danielle Lavoie a lancé son second livre jeunesse intitulé Le Trésor de Lucie à...
Presse et démocratie En cette ère de post-vérité, une presse libre et en santé est essentielle. Et pourtant, elle se porte mal.
Assemblée générale des membres sur les statuts de l'ACF Une assemblée agitée pour les membres de l'ACF PRINCE ALBERT - Les membres de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) inscrits à l’assemblée...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5301 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer